05 Juil Le système d’information d’Orange et de l’UMP dans l’actualité
Capgemini et Micros refondent le système de gestion des ventes des boutiques Orange (05/07/13 – ITR Mobiles)
La refonte du système d’encaissement et de gestion des stocks des boutiques Orange basée sur la solution logicielle Retail-J de Micros a été confiée à Capgemini. La mission de ce dernier : intégrer la solution logicielle Retail-J dans le Système d’information d’Orange et la déployer dans les 600 boutiques France Telecom de métropole en moins de dix-huit mois.
Outre une ergonomie très intuitive et un écran tactile, le nouveau poste d’encaissement, inspiré des technologies récentes, permet aux équipes commerciales d’Orange de mieux gérer leurs ventes et leurs stocks en boutique, grâce notamment à un pilotage en temps réel de l’activité, des fonctionnalités accrues pour optimiser les ventes, mais également la mise à disposition d’un PDA amélioré.
Capgemini est intervenue tout au long du projet, de l’adaptation des processus métiers jusqu’au déploiement de la nouvelle solution dans les boutiques, en passant par la migration des données de l’ancien système, la configuration du logiciel Retail-J et la réalisation des interfaces (CRM, comptabilité, supply chain…), les performances du système ou encore la conduite du changement, couvrant ainsi un spectre de prestations dépassant largement celui d’un projet d’intégration classique.
L’ERP intelligent : mythe ou réalité ? 3 raisons d’y croire, et plus encore (04/07/13 – JDN)
Arrivé à maturité, l’ERP est plus qu’un outil de gestion : moteur de la compétitivité de l’entreprise, il permet d’améliorer la productivité et contribue à la création de valeur. Doté d’intelligence, l’ERP est devenu un instrument de pilotage.
- Le décisionnel permet de gagner en réactivité dans la gestion et la prise de décision
- La gestion collaborative, la dématérialisation et le workflow optimisent la circulation de l’information
- La mobilité dans l’ERP suit l’accélération de la consommation et du nomadisme
Contrat cloud : comment l’UMP a fait plier Oracle (04/07/13 – 01Business)
Fin 2012, le contrat qui le lie à l’éditeur américain arrivant à échéance, le parti politique décide de changer de système de gestion de base de données – sa base adhérents – externalisée sur le cloud. Mais l’UMP ne peut récupérer ses données, un bug technique empêchant la fonction « export » d’Oracle CRM On Demand. En attendant la mise en œuvre d’une nouvelle version, Oracle propose un correctif spécifique.
En réponse, l’UMP l’assigne en référé. Le TGI de Nanterre donne raison à ce dernier et propose deux injonctions alternatives à Oracle, assorties d’une astreinte de 5 000 euros par jour de retard. Soit Oracle fournit à l’UMP « les moyens techniques de nature à lui permettre sans délai l’exportation de l’ensemble de ses données nominatives hébergées ». Soit l’éditeur garantit à l’UMP, sans frais, la prolongation de l’accès complet au service Oracle CRM On Demand, « jusqu’à l’expiration d’un délai de deux mois à compter du jour où il sera en mesure de procéder à l’exportation de ses données nominatives hébergées ».