17 Fév CRM et outil décisionnel : Airbus et SAP
Airbus équipe son unité commercial d’un outil décisionnel (IT Channel – 07/02/14)
Jusqu’à présent Airbus ne possèdait pas d’outils permettant de traiter des volumes importants d’informations. Et pourtant, les données statistiques du marché aérien mondial de ces 30 dernières années doivent certainement abriter des trésors d’information pour les équipes marketing. Pour remédier à cela, Airbus a donc lancé le projet BIO (Business Information Object).
Pour fournir à ses équipes commerciales l’outil décisionnel capable de traiter de très gros volumes de données sans qu’il soit nécessaire de reparamétrer une grille d’analyse multidimensionnelle à chaque nouvelle requête, Airbus a demandé de l’aide à SQLI. La SSII a alors immédiatement conseillé l’intégration du logiciel DigDash Enterprise. Celui-ci permet, en effet, d’analyser des données structurées et non structurées, et de gérer des volumes de données très importants (dans ce cas, un traitement de 5 milliards de lignes avec des restitutions quasi instantanées).
Logiciels de CRM : 40% des déploiements se font en SaaS (ZDNet – 13/02/14)
Selon Gartner, le marché mondial des logiciels de gestion de la relation client ou outils de CRM, devrait enregistrer cette année une croissance modérée – après trois années de forts investissements – pour atteindre 23,9 milliards de dollars.
Les revenus du Cloud (applications proposées en mode SaaS) dans le CRM devraient représenter dès 2014 pas moins de 49% du marché mondial en valeur.
Le SaaS, très présent dans ce domaine applicatif, principalement (mais plus seulement) au travers de Salesforce.com, représentait déjà 40% des déploiements d’outils CRM d’après Gartner. Et le cabinet estime que les 50% seront atteint au cours de l’année prochaine.
Mais si la croissance du CRM devrait être mesurée en 2014, Gartner rappelle néanmoins que ces applications restent parmi les priorités des entreprises en termes d’investissement. Et d’autres tendances, comme par exemple le mobile et le « social networking », contribuent à renforcer la valeur en entreprise des logiciels de CRM.
Ce que vous devez savoir avant de signer avec SAP (01Net – 03/02/14)
L’USF (l’association des utilisateurs SAP francophones) et le Cigref (association de grandes entreprises) viennent de publier la deuxième version de leur livre blanc sur les pratiques commerciales de l’éditeur SAP. Objectif : aider les entreprises clientes (ou futures clientes) de SAP à mettre en œuvre des bonnes pratiques commerciales pour gérer leur relation avec l’éditeur.
Le coût des interfaces entre SAP et d’autres logiciels : SAP demande à ce que ses clients achètent des licences pour s’interfacer avec certains logiciels. Ce que l’éditeur appel « les accès indirects ». Pour accéder à des informations qui se trouvent dans SAP depuis l’extérieur les entreprises doivent donc payer. « Acheter des modules de SAP devient nécessaire, alors qu’il est possible de s’en passer techniquement » explique Patrick Geai. Lorsque des données sont envoyées à SAP, une licence est aussi nécessaire.
Une facturation à l’utilisation mais jamais à la baisse : Les versions cloud des outils SAP se paient à l’utilisation. Mais lorsque la consommation baisse, les entreprises ne semblent pas payer moins.
Un turn-over important des commerciaux chez SAP : Changer trop souvent d’interlocuteur commercial complexifie les discussions et empêche les clients de capitaliser sur l’historique de leur relation avec SAP.A